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Optimisation énergétique des bâtiments : entretien, nettoyage, isolation

Optimisation énergétique bâtiments professionnels

Saviez-vous que l’optimisation énergétique des bâtiments est devenue une nécessité absolue dans un secteur qui représente 44% de la consommation énergétique en France? Le bâtiment est également le secteur le plus polluant en termes d’émissions de gaz à effet de serre, générant plus de 123 millions de tonnes de CO2 chaque année.

Face à ces chiffres alarmants, l’efficacité énergétique bâtiment n’est plus une option mais une obligation. À l’échelle de l’Europe, le bâti utilise 40% de la consommation finale d’énergie, ce qui explique pourquoi des objectifs ambitieux ont été fixés : -40% de consommation d’ici 2030 et -60% à l’horizon 2050. De plus, les logements considérés comme « passoires énergétiques » seront progressivement interdits à la location.

Optimiser la performance énergétique des bâtiments vous permet non seulement de réduire considérablement vos coûts (jusqu’à 30% d’économies sur vos factures actuelles), mais aussi d’améliorer le confort des occupants et de répondre aux exigences réglementaires. Dans cet article, nous explorerons comment l’entretien, le nettoyage et l’isolation constituent les piliers fondamentaux de la gestion énergétique des bâtiments efficace et durable.

Comprendre les enjeux de l’optimisation énergétique des bâtiments

L’optimisation énergétique des bâtiments constitue un défi majeur pour atteindre les objectifs climatiques et économiques de la France. Pour agir efficacement, il est essentiel de comprendre précisément les enjeux qui se cachent derrière cette nécessité.

Consommation énergétique du secteur du bâtiment en France

Le secteur du bâtiment représente un poste de consommation énergétique considérable en France. Au-delà du chiffre global de 44% mentionné précédemment, il convient d’analyser plus en détail cette consommation. Le parc immobilier français compte environ 36 millions de logements dont plus de la moitié a été construite avant 1975, date de la première réglementation thermique.

Par ailleurs, la répartition de cette consommation varie selon l’usage. Le chauffage constitue généralement le premier poste de dépense énergétique (entre 60% et 70% de la consommation totale), suivi par l’eau chaude sanitaire (environ 10-15%), l’éclairage et les équipements électriques. Cette répartition explique pourquoi l’isolation thermique et l’entretien des équipements de chauffage sont des leviers prioritaires.

Le parc tertiaire, quant à lui, représente près de 900 millions de mètres carrés et consomme annuellement plus de 250 TWh d’énergie finale. Les bureaux, commerces et établissements d’enseignement constituent les trois principales catégories consommatrices.

Objectifs de réduction fixés par le décret tertiaire et la RE2020

Face à cette situation, la France a établi un cadre réglementaire ambitieux pour réduire progressivement la consommation énergétique des bâtiments :

  • Le décret tertiaire (ou dispositif Éco Énergie Tertiaire) impose aux bâtiments tertiaires de plus de 1000 m² une réduction de leur consommation énergétique de 40% d’ici 2030, 50% d’ici 2040 et 60% d’ici 2050, par rapport à une année de référence qui ne peut être antérieure à 2010.
  • La RE2020 (Réglementation Environnementale 2020), entrée en vigueur le 1er janvier 2022, remplace la RT2012 et introduit des exigences plus strictes en matière de performance énergétique pour les constructions neuves. Elle fixe notamment des objectifs de consommation d’énergie primaire maximale et impose une limitation de l’impact carbone tout au long du cycle de vie du bâtiment.

Ces réglementations s’accompagnent d’obligations de suivi et de reporting. Ainsi, la plateforme OPERAT permet aux assujettis au décret tertiaire de déclarer annuellement leurs consommations énergétiques et de suivre leur progression vers les objectifs fixés.

Lien entre performance énergétique et confort des occupants

L’optimisation énergétique des bâtiments ne doit pas être perçue uniquement comme une contrainte réglementaire ou économique. En effet, elle contribue directement à améliorer le confort et le bien-être des occupants.

Un bâtiment bien isolé et correctement ventilé permet d’éviter les sensations d’inconfort thermique comme les courants d’air froid en hiver ou la surchauffe en été. Cette stabilité thermique favorise une atmosphère de travail ou de vie plus agréable et productive.

De plus, la qualité de l’air intérieur est étroitement liée à la performance énergétique. Un système de ventilation efficace et bien entretenu garantit un renouvellement d’air optimal tout en limitant les déperditions thermiques. Cela contribue à réduire les risques sanitaires liés au confinement (concentration de polluants, humidité excessive, etc.) tout en maintenant une température confortable.

Enfin, l’optimisation énergétique peut également améliorer le confort acoustique. Une bonne isolation thermique s’accompagne souvent d’une meilleure isolation phonique, réduisant les nuisances sonores extérieures et contribuant ainsi à un environnement plus serein.

Les bénéfices de l’optimisation énergétique dépassent donc largement le cadre des économies financières et s’inscrivent dans une démarche globale d’amélioration de la qualité de vie au sein des bâtiments.

Isolation thermique : premier levier de performance énergétique

L’isolation thermique constitue la fondation de toute démarche d’optimisation énergétique des bâtiments. En créant une enveloppe protectrice autour de la construction, vous limitez considérablement les transferts de chaleur entre l’intérieur et l’extérieur. Une isolation performante permet non seulement de réduire les consommations d’énergie, mais également d’améliorer le confort des occupants tout en préservant les ressources énergétiques naturelles.

Isolation des murs, toitures et planchers bas

La hiérarchisation des travaux d’isolation est essentielle pour maximiser le retour sur investissement. Le toit représente la zone prioritaire car il est responsable de la plus grande part des déperditions thermiques. Les murs constituent la deuxième priorité, suivis par les fenêtres, puis les planchers bas [1].

Pour les murs, deux techniques principales s’offrent à vous : l’isolation par l’intérieur (ITI) et l’isolation par l’extérieur (ITE). L’ITI reste plus économique avec un bon rapport performance-prix, tandis que l’ITE permet de supprimer la majorité des ponts thermiques sans réduire la surface habitable [2].

Concernant les planchers bas, ils représentent entre 7% et 10% des pertes de chaleur selon l’ADEME [3]. Deux options existent selon votre configuration : l’isolation par le dessous (recommandée si le rez-de-chaussée est situé au-dessus d’un local non chauffé) ou l’isolation par le dessus (nécessaire si le terre-plein ou le vide sanitaire sont inaccessibles) [3].

Choix des matériaux : laine de roche, ouate de cellulose, aérogel

Le choix du matériau isolant dépend de nombreux facteurs, notamment de son efficacité thermique, mesurée par la conductivité thermique (lambda λ) exprimée en W/m.K. Plus cette valeur est faible, plus l’isolant est performant [4].

La laine de roche présente une conductivité thermique généralement comprise entre 0,032 et 0,040 W/m.K. Résistante au feu (classée A1), elle offre également une bonne isolation acoustique [5]. Par ailleurs, elle est relativement économique (entre 10 et 20 €/m²) [5].

La ouate de cellulose, fabriquée à partir de papier recyclé, affiche une conductivité thermique de 0,038 à 0,042 W/m.K. Son excellent déphasage thermique en fait un atout majeur dans les climats chauds [5]. Son prix oscille entre 15 et 25 €/m² [5].

L’aérogel de silice représente une innovation remarquable avec une conductivité thermique inférieure à 0,020 W/m.K [4]. Composé de 95 à 98% d’air emprisonné et de 2 à 5% de silice, il est jusqu’à trois fois plus isolant que le polystyrène. Cependant, son prix élevé limite encore sa démocratisation [4].

Menuiseries performantes : double/triple vitrage

Les fenêtres jouent un rôle crucial dans l’optimisation énergétique des bâtiments. Le double vitrage standard se compose de deux vitres de 4 mm séparées par une lame de gaz (argon, krypton ou xénon) [6]. Il est particulièrement adapté pour capter les calories du rayonnement solaire pendant les saisons froides.

Le triple vitrage, quant à lui, offre une isolation thermique supérieure avec un coefficient Ug pouvant atteindre 0,5 W/m².K contre 2,8 W/m².K pour certains doubles vitrages [7]. Il est particulièrement recommandé pour les climats très froids, les pièces très exposées en été, ou les maisons passives [6].

Étanchéité à l’air et traitement des ponts thermiques

Les ponts thermiques sont des zones où l’isolation est interrompue ou moins efficace. Ils peuvent représenter jusqu’à 30% des déperditions totales d’un logement mal conçu [8]. On distingue deux types de ponts thermiques : les ponts thermiques linéiques (à la jonction entre un mur et un plancher) et les ponts thermiques ponctuels (comme l’ancrage d’une poutre métallique) [8].

Pour traiter ces ponts thermiques, plusieurs solutions existent. Les retours d’isolant permettent d’allonger le parcours de la chaleur et réduisent efficacement les déperditions thermiques. En règle générale, un retour de 30 à 60 cm suffit à corriger nettement un pont thermique [9].

L’isolation thermique par l’extérieur constitue la solution la plus efficace pour traiter simultanément la majorité des ponts thermiques linéiques en assurant la continuité de la résistance thermique [8]. Pour certains cas spécifiques comme les balcons, l’intégration de rupteurs de ponts thermiques devient indispensable [8].
En définitive, l’isolation thermique représente un investissement rentable qui améliore non seulement la performance énergétique de votre bâtiment, mais également le confort de ses occupants tout en préservant sa valeur patrimoniale.

Entretien des équipements : garantir un rendement optimal

L’entretien régulier de vos équipements constitue un pilier essentiel de l’optimisation énergétique des bâtiments. Un système bien maintenu consomme moins d’énergie et offre un rendement optimal, générant ainsi des économies significatives sur le long terme.

Maintenance préventive des systèmes CVC

La maintenance préventive des systèmes de Chauffage, Ventilation et Climatisation (CVC) est fondamentale pour assurer leur efficacité énergétique durable. Elle comprend plusieurs interventions essentielles : le nettoyage périodique des bobines, ventilateurs et échangeurs de chaleur, le contrôle des niveaux de liquide réfrigérant, l’inspection des conduits, et la vérification des systèmes de contrôle automatique [10].
Contrairement à la maintenance curative, coûteuse et peu rentable, la maintenance préventive anticipe l’état futur de vos équipements et améliore votre taux de rendement global [11]. Par ailleurs, cette approche proactive permet d’éviter jusqu’à 2,5% des émissions mondiales de CO2 grâce à des échangeurs de chaleur fonctionnant de manière optimale [12].

Nettoyage des filtres et conduits de ventilation

L’encrassement des filtres et conduits représente une cause majeure de perte d’efficacité. Un filtre encrassé provoque une diminution du débit d’air et peut engendrer une surconsommation équivalente au coût d’un nouveau filtre [13].

Pour maintenir un système de ventilation performant, les professionnels suivent ces recommandations :

  • Inspection et aspiration des filtres tous les 3 mois et remplacement annuel [13]
  • Dépoussiérage des entrées d’air mensuellement [14]
  • Nettoyage et désinfection des grilles de ventilation tous les 6 mois
  • Inspection des conduits par un professionnel tous les 2 ans ou plus selon les besoins

Surveillance des chaudières, pompes à chaleur et PAC hybrides

Les pompes à chaleur et chaudières nécessitent une surveillance particulière pour garantir leur rendement. Un entretien annuel de votre pompe à chaleur permet de maintenir son efficacité optimale et évite les surconsommations d’énergie [15].

Pour les PAC hybrides, qui combinent pompe à chaleur et chaudière à condensation, la maintenance doit inclure le nettoyage des échangeurs, la vérification des pressions du circuit frigorifique, le contrôle d’étanchéité des circuits hydrauliques et l’inspection du brûleur [16]. Ces opérations, réalisées par un technicien qualifié, représentent un investissement, mais génèrent des économies substantielles en prolongeant la durée de vie des équipements et en maintenant leur performance énergétique [16].

En définitive, la mise en place d’un contrat de maintenance avec un professionnel qualifié constitue une solution privilégiée pour systématiser l’entretien préventif, éviter les incidents et maintenir durablement la performance énergétique de vos installations [17].

Nettoyage et hygiène énergétique : un impact souvent sous-estimé

Le nettoyage régulier des différents éléments d’un bâtiment représente un levier méconnu de l’optimisation énergétique. Cette dimension souvent négligée peut pourtant générer des économies substantielles sans nécessiter d’investissements importants.

Nettoyage des surfaces vitrées pour maximiser les apports solaires

Des vitres encrassées réduisent considérablement la transmission lumineuse, nécessitant ainsi un éclairage artificiel supplémentaire pendant la journée. L’accumulation de poussière, pollution urbaine et résidus atmosphériques crée un film opaque qui filtre les rayons solaires [3]. Cette diminution de transparence affecte également l’efficacité du chauffage solaire passif, contraignant les systèmes thermiques à compenser cette perte d’apport gratuit d’énergie. Par ailleurs, les sols encrassés absorbent davantage la lumière au lieu de la réfléchir, limitant ainsi l’efficacité de l’éclairage naturel [3].

Pour un nettoyage optimal des surfaces vitrées, l’utilisation d’eau pure (sans calcaire) représente une solution professionnelle efficace, car elle ne laisse aucune trace et supprime les opérations de raclage et d’essuyage [18].

Dépoussiérage des luminaires pour une meilleure efficacité

Un simple dépoussiérage des luminaires peut améliorer significativement leur rendement. En effet, la poussière qui s’accumule sur les abat-jours et les ampoules entraîne une perte d’efficacité considérable : une source lumineuse poussiéreuse est 25 à 40% moins efficace qu’un luminaire propre [19]. Un nettoyage bisannuel suffit généralement pour maintenir une performance optimale [19].

Dans un contexte d’efficacité énergétique bâtiment, un nettoyage annuel évite une chute d’éclairement de 10 à 15% [20], ce qui souligne l’importance de cette pratique d’entretien simple mais efficace.

Hygiène des grilles de ventilation et bouches d’extraction

L’entretien des systèmes de ventilation constitue un facteur direct de santé, d’économie et de performance environnementale [21]. Les bouches d’aération doivent être nettoyées deux fois par an pour garantir un renouvellement d’air optimal [22]. Un encrassement peut entraîner une humidité excessive et l’apparition de moisissures [22].

Pour nettoyer ces équipements, démontez délicatement le clapet d’ouverture et nettoyez-le avec un chiffon humide. Attention, ces bouches étant souvent hygroréglables, elles ne doivent jamais être lavées sous l’eau courante au risque de les détériorer [22].

Cette maintenance régulière permet à la technologie hygroréglable d’adapter correctement le débit d’air aux besoins réels du logement, réduisant ainsi les pertes de chaleur et optimisant la consommation électrique des ventilateurs [4].

Suivi, pilotage et outils numériques pour la gestion énergétique

La digitalisation offre des outils puissants pour optimiser la performance énergétique des bâtiments. Grâce aux technologies intelligentes, vous pouvez désormais surveiller, analyser et ajuster précisément vos consommations.

Installation de capteurs et sous-compteurs

Les sous-compteurs permettent une répartition détaillée des consommations énergétiques dans votre bâtiment [23]. Ces dispositifs identifient les zones, circuits ou équipements les plus énergivores, vous guidant ainsi vers des optimisations ciblées. L’installation de capteurs IoT connectés se réalise généralement sans travaux intrusifs [5]. Ces équipements mesurent en temps réel des données comme la consommation d’électricité, de gaz ou la température ambiante, qui sont ensuite transmises vers une plateforme de gestion énergétique [5].

Utilisation d’une GTB pour automatiser les réglages

La Gestion Technique du Bâtiment (GTB) centralise toutes les données des équipements techniques et les analyse pour améliorer leur performance [24]. Ces systèmes de nouvelle génération intègrent désormais l’IoT, permettant une gestion conjointe de toutes les technologies opérationnelles [25]. En régulant automatiquement la chaleur et en analysant les données de consommation, la GTB identifie les inefficacités énergétiques et propose des solutions correctives en temps réel [26].

Plateformes de monitoring comme DeltaConso ou Citron.io

Citron® collecte automatiquement vos données issues de sources différentes sur une plateforme unique [27]. Ses tableaux de bord offrent une vision claire de la maîtrise énergétique de votre parc immobilier [27]. DeltaConso Expert, quant à lui, dispose d’une interface avec OPERAT pour faciliter la déclaration obligatoire des consommations imposée par le décret tertiaire [6]. Ces plateformes constituent des outils essentiels pour définir et mettre en place votre stratégie de réduction des consommations [27].

Conclusion

L’optimisation énergétique des bâtiments représente donc une démarche essentielle face aux défis environnementaux et économiques actuels. À travers cet article, vous avez découvert comment une approche globale combinant isolation, entretien et nettoyage peut transformer radicalement la performance de vos bâtiments.

Premièrement, l’isolation thermique constitue la fondation indispensable de toute stratégie d’efficacité énergétique. En isolant correctement vos murs, toitures et planchers, vous réduisez considérablement les déperditions de chaleur. De même, le choix judicieux de matériaux isolants et de menuiseries performantes renforce cette barrière thermique.

Deuxièmement, l’entretien régulier de vos équipements techniques s’avère tout aussi crucial. Un système CVC bien maintenu consomme moins d’énergie tout en offrant un confort optimal aux occupants. Par ailleurs, le nettoyage périodique des filtres et conduits de ventilation garantit la qualité de l’air intérieur sans gaspillage énergétique.

Troisièmement, le nettoyage des surfaces vitrées et des luminaires, souvent négligé, joue un rôle significatif dans votre bilan énergétique. Des fenêtres propres maximisent les apports solaires gratuits tandis que des luminaires dépoussiérés améliorent l’efficacité de votre éclairage.

Enfin, les outils numériques offrent désormais des possibilités de suivi et d’optimisation en temps réel. Grâce aux sous-compteurs, capteurs connectés et plateformes de monitoring, vous pouvez analyser finement vos consommations et identifier rapidement les sources de gaspillage.

Au-delà des économies financières substantielles, ces pratiques contribuent activement à la lutte contre le changement climatique tout en améliorant le confort et la santé des occupants. Face aux réglementations de plus en plus exigeantes comme le décret tertiaire ou la RE2020, cette démarche globale d’optimisation énergétique n’est plus une option mais une nécessité absolue.
En définitive, chaque action compte, des plus simples comme le nettoyage régulier des bouches d’aération aux plus complexes comme la mise en place d’une GTB. Ensemble, ces mesures permettent non seulement de réduire significativement l’empreinte écologique de vos bâtiments, mais aussi d’anticiper les évolutions réglementaires et de valoriser durablement votre patrimoine immobilier.

FAQs

Q1. Quelles sont les principales méthodes pour optimiser l’efficacité énergétique d’un bâtiment ?

Les principales méthodes incluent le renforcement de l’isolation thermique, l’entretien régulier des équipements CVC, le nettoyage des surfaces vitrées et des luminaires, ainsi que l’utilisation d’outils numériques pour le suivi et le pilotage de la consommation énergétique.

Q2. Pourquoi l’isolation thermique est-elle considérée comme le premier levier de performance énergétique ?

L’isolation thermique est primordiale car elle réduit considérablement les déperditions de chaleur. Une bonne isolation des murs, toitures et planchers crée une enveloppe protectrice autour du bâtiment, limitant les transferts thermiques et améliorant le confort des occupants tout en réduisant la consommation d’énergie.

Q3. Quel est l’impact du nettoyage sur l’efficacité énergétique d’un bâtiment ?

Le nettoyage a un impact souvent sous-estimé mais significatif. Des vitres propres maximisent les apports solaires, des luminaires dépoussiérés améliorent l’efficacité de l’éclairage, et l’entretien des grilles de ventilation optimise le renouvellement d’air, contribuant ainsi à réduire la consommation énergétique globale.

Q4. Comment la maintenance des équipements contribue-t-elle à l’optimisation énergétique ?

Un entretien régulier des systèmes CVC, des chaudières et des pompes à chaleur garantit leur rendement optimal. Cela inclut le nettoyage des filtres, l’inspection des conduits et la vérification des systèmes de contrôle. Une maintenance préventive permet d’éviter les surconsommations et prolonge la durée de vie des équipements.

Q5. Quel rôle jouent les outils numériques dans la gestion énergétique des bâtiments ?

Les outils numériques comme les capteurs, les sous-compteurs et les plateformes de monitoring permettent un suivi précis et en temps réel de la consommation énergétique. Ils facilitent l’identification des sources de gaspillage, l’automatisation des réglages via une GTB (Gestion Technique du Bâtiment) et l’optimisation continue de la performance énergétique du bâtiment.

Références

[1] – https://www.qualitel.org/particuliers/isolation/techniques-isolation/

[2] – https://www.batiadvisor.fr/isolation-thermique-du-batiment/

[3] – https://cqpm.fr/quels-sont-les-benefices-dun-nettoyage-regulier-pour-la-performance-energetique-dun-batiment/

[4] – https://www.aereco.fr/dossiers-thematiques/grilles-daeration-et-bouches-de-ventilation/

[5] – https://www.advizeo.io/smart-buildings/le-sous-comptage-energetique-la-solution-pour-booster-la-performance-de-vos-batiments/

[6] – https://www.akea-energies.com/logiciel

[7] – https://www.menuiseries-bieber.com/les-avantages-du-triple-vitrage-pour-une-meilleure-isolation/

[8] – https://www.thermor.fr/nos-conseils/pont-thermique

[9] – https://conseils-thermiques.org/contenu/pont-thermique.php

[10] – https://www.industries.veolia.com/fr/maintenance-systemes-cvc-vos-batiments

[11] – https://www.mercijack.co/articles/maintenance-cvc-optimiser-vos-equipements

[12] – https://www.alfalaval.fr/industries/energies-et-des-utilites/sustainablesolutions/solutions-durables/efficacite-energetique/service-to-optimize-energy-efficiency/

[13] – https://energieplus-lesite.be/gerer/ventilation5/entretenir-le-systeme-de-distribution-de-l-air/

[14] – https://www.qualitel.org/particuliers/conseils/comment-bien-assurer-lentretien-de-votre-systeme-de-ventilation/

[15] – https://www.qualit-enr.org/idee-recue-lentretien-des-equipements-enr-cest-une-perte-de-temps-et-dargent/

[16] – https://www.abcclim.net/pompe-a-chaleur-hybride-dossier-complet.html

[17] – https://www.engie-solutions.com/fr/faire-economies-energies/realiser-maintenance-installation-performance-energetique

[18] – https://www.voussert.fr/nettoyage-vitre-et-panneau-solaire-c2.html

[19] – https://totalenergies.be/fr/particuliers/blog/lactu/moins-de-poussiere-plus-de-lumiere

[20] – https://energieplus-lesite.be/gerer/eclairage7/organiser-la-maintenance-de-l-eclairage/

[21] – https://www.avipur.com/entretien-des-systemes-de-ventilation-quel-impact-sur-la-qualite-de-lair-interieur-et-la-performance-energetique/

[22] – https://www.giboire.com/conseils/transaction/comment-nettoyer-les-bouches-de-ventilation-de-son-logement/

[23] – https://www.wattsense.com/fr-fr/blog/gestion-de-lenergie/sous-comptage-comprendre-et-optimiser-sa-consommation-denergie/

[24] – https://eficia.com/fr/ressources/blog/solution-eficia/automatisation-gtb

[25] – https://www.se.com/fr/fr/work/products/building-management/

[26] – https://www.advizeo.io/smart-buildings/systeme-dautomatisation-du-batiment-obligation-gtb-et-decret-bacs-expliques/

[27] –https://citron.io/

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